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D.OBONO effet boomerang

Dans notre pays qui perd ses repères et le sens des nuances le Journal Valeurs actuelles vient de donner à la France Insoumise et à un de ses membres, l'inénarrable D.OBONO une occasion de faire le Buzz comme on dit aujourd'hui et c'est franchement dommage.

 

Comment oublier à supposer qu'on ait envie de la défendre les prises de position totalement inadmissibles de cette personne.

 

Nos politiques comme un seul homme sont venus (y compris notre Président) à son secours.

 

On doit cependant essayer de rester lucide au risque de perdre la raison.

 

Danièle OBONO n'a qu'un but, faire prévaloir ses thèses nauséabondes qui sont ferments d'indivision.

 

Non on n'excuse pas M. MERAH, non, on ne justifie pas quand on est députée de la République des propos totalement déplacés sur notre pays. 

 

Bref on est pas forcé de cracher dans la soupe...et son indigeste indigénisme nous rend forcément suspicieux.

 

Non, la représenter en esclave malgré ce que l'on nous rabâche depuis quelques jours n'était pas de nature à la rabaisser ou à l'injurier bien au contraire et elle l'a bien compris.

 

La réaction des politiques et de la presse en dit long sur l'état réel des forces en présence.

 

Non Mme OBONO n'a pas été injuriée.

 

Il aurait été injurieux de la représenter en bourreau car, que je sache  à notre époque nous avons bien assimilé (à part quelques abrutis) que l'esclavage des africains a constitué une page horrible inqualifiable de l'histoire humaine.

 

Elle était donc représentée en victime.

 

Elle ne pouvait pas cependant laisser passer qu'elle pouvait être (ses ancêtres) victime des siens car c'est de cela dont parlait l'article de V.A.

Je suis d'ailleurs dubitatifs lorsque je vois l'utilisation que font certains de leurs "ancêtres".

 

On les fait parler un peu vite.

 

Les ancêtres de Mme OBONO ont du trouver que venir en France n'était peut être pas la pire des destinées dans ce Monde. 

 

D'où la panique et la polémique lancée par D.OBONO qui en bonne élève de la F.I a repris les vieilles méthodes de l'ultra gauche.

 

Pour faire oublier que des Africains ont pu aussi être des bourreaux elle fait le Buzz sur un tout autre sujet que celui évoqué dans l'article. 

 

Souvenons nous de MELENCHON qui fait un scandale (La République c'est moi) bousculant policiers et procureur pour qu'on ne parle pas du vrai problème, les détournements commis en empêchant ceux ci de faire leur travail.

 

Voir notre pays par l'intermédiaire de nos représentants à genoux et repentants devant Danièle OBONO c'est bien la preuve de son succès.

 

On ne parlera plus du sujet qui fâche et que croyait aborder Valeur Actuelle.

 

Est elle injuriée ?

 

Selon la lettre du second alinéa de l'article 29 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, l'injure est “toute expression outrageante, termes de mépris ou invective”.

 L'injure peut être exprimée par un signe ou un dessin dont la signification ou même la connotation est injurieuse.

 

Par ex. adjoindre au nom d'un ministre les lettres « SS » constitue une injure punissable (Cass. crim., 6 mars 1974 : Bull. crim. n° 97 ; RSC 1974, p. 875, obs. G. Levasseur), de même que l'apposition d'une croix gammée sur le mur d'une maison (Cass. crim., 23 févr. 1950 : D.  1951, p. 217, note P. Mimin ; S.  1950, 1, p. 173, note M. R. M. P. ; 

 

l'injure est une expression outrageante, méprisante ou une invective “qui ne renferme l'imputation d'aucun fait” (L. 29 juill. 1881, art. 29, al. 2)

 

 

Le délit d'injure est, conformément à la règle générale exprimée à l'article 121-3 du Code pénal, une infraction intentionnelle (Cass. crim., 19 nov. 1930 : Gaz. Pal. 1931, 1, p. 40). L'intention coupable suppose que l'agent ait eu la volonté de porter atteinte à l'honneur ou la réputation du destinataire de l'injure (sur la volonté de rendre publics les propos tenus, V. n° 7). Le mobile est en revanche indifférent.

Comment  prouver que faire jouer à quelqu'un fut il connu le rôle d'un esclave est injurieux ?

 

Il n'y a a aucun outrage, il n'y a pas de mépris .

 

Compte tenu du contenu du texte V.A. parait difficilement condamnable.

 

 

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